Bordel de merde. Sacrée après-midi.
J'écris comme un taré. Avec les Dead Kennedys à fond la caisse. J'ai l'impression que ce sont les vibrations de mes baffles qui guident mon crayon de papier.
Mais j'ai mal au dos et j'ai terriblement envie d'embrasser ma copine. La vie n'est pas parfaite. C'est pour ça que Dieu a inventé le paracétémol codéiné. Cela ne remplace pas un baiser (seul le whisky peut remplacer un baiser, mais bordel j'ai arrêté de boire), mais c'est plutôt efficace pour le dos.
Écrire c'est comme se battre. Je n'ai pas fait de bastons depuis des années quand on cassait du facho avec mes copains et mes copines redskins. Mais je retrouve cette sensation de danger et d'excitation. J'ai toujours en moi cette pulsion de démonter la tête à quelqu'un. Cela me prend au moins dix fois dans la journée. Le mec qui ne tient pas la porte à une vieille dame. Le vieux qui pousse les enfants. Le connard arrogant. La connasse qui parle fort dans son téléphone. Le monde entier mérite une raclée. Donc autant se calmer, raccrocher les gants, et créer. Mettre cette énergie, la colère, la frustration, la peur, dans la création. Et putain, c'est le bonheur quand après quelques heures on a réussi à décalquer la tête à quelques pages, ou même à un chapitre. C'est le bonheur juste un cran au-dessous de celui que j'éprouve quand je retrouve mon amour après plusieurs jours de séparation (et avec elle, my sweet butterfly, les heures sont des jours), quand je l'embrasse ou quand je jouis en elle.
De toute cette merde de notre vie, de notre passé dégueulasse, blessé, ravagé, ou simplement sans intérêt, atone et fade, il s'agit de faire de belles choses méchantes et pures.
J'écris comme un taré. Avec les Dead Kennedys à fond la caisse. J'ai l'impression que ce sont les vibrations de mes baffles qui guident mon crayon de papier.
Mais j'ai mal au dos et j'ai terriblement envie d'embrasser ma copine. La vie n'est pas parfaite. C'est pour ça que Dieu a inventé le paracétémol codéiné. Cela ne remplace pas un baiser (seul le whisky peut remplacer un baiser, mais bordel j'ai arrêté de boire), mais c'est plutôt efficace pour le dos.
Écrire c'est comme se battre. Je n'ai pas fait de bastons depuis des années quand on cassait du facho avec mes copains et mes copines redskins. Mais je retrouve cette sensation de danger et d'excitation. J'ai toujours en moi cette pulsion de démonter la tête à quelqu'un. Cela me prend au moins dix fois dans la journée. Le mec qui ne tient pas la porte à une vieille dame. Le vieux qui pousse les enfants. Le connard arrogant. La connasse qui parle fort dans son téléphone. Le monde entier mérite une raclée. Donc autant se calmer, raccrocher les gants, et créer. Mettre cette énergie, la colère, la frustration, la peur, dans la création. Et putain, c'est le bonheur quand après quelques heures on a réussi à décalquer la tête à quelques pages, ou même à un chapitre. C'est le bonheur juste un cran au-dessous de celui que j'éprouve quand je retrouve mon amour après plusieurs jours de séparation (et avec elle, my sweet butterfly, les heures sont des jours), quand je l'embrasse ou quand je jouis en elle.
De toute cette merde de notre vie, de notre passé dégueulasse, blessé, ravagé, ou simplement sans intérêt, atone et fade, il s'agit de faire de belles choses méchantes et pures.
plaisir plaisir de te lire
RépondreSupprimermerci Anonyme
RépondreSupprimermystérieux/se...
Cette envolée. Tu es vivant, toi :)
RépondreSupprimerJe vais revenir te lire souvent, je crois bien.